Thème n°8 : Les Images

Un jour j’ai assisté à un cours saturé d’images. Trop. Mais c’était celles du professeur. C’était ce qui lui parlait à elle. Pas un instant elle ne s’est préoccupée de savoir si cela aidait les élèves.

Pourtant il serait regrettable de se priver d’un tel support, sous prétexte de ne pas imposer son imaginaire propre.

Une image qui fonctionne, provoque une amélioration, aide l’élève à entrer dans la sensation, c’est très bien.

Il faut simplement vérifier « si ça marche ». Et si ce n’est pas le cas, on abandonne. Et si cette image parle à un ou deux élèves, pas à tout le monde, c’est déjà ça.

Un jour j’ai assisté à un cours saturé d’images. Trop. Mais c’était celles du professeur. C’était ce qui lui parlait à elle. Pas un instant elle ne s’est préoccupée de savoir si cela aidait les élèves.

Pourtant il serait regrettable de se priver d’un tel support, sous prétexte de ne pas imposer son imaginaire propre.

Une image qui fonctionne, provoque une amélioration, aide l’élève à entrer dans la sensation, c’est très bien.

Il faut simplement vérifier « si ça marche ». Et si ce n’est pas le cas, on abandonne. Et si cette image parle à un ou deux élèves, pas à tout le monde, c’est déjà ça.

Utiliser l’image d’un autre professeur, parce-que vous l’avez trouvée très bonne, ça peut très bien faire un flop avec vous ! C’est dire à quel point c’est personnel.

Une de nos collègues, j’espère qu’elle ne m’en voudra pas de la citer en exemple, parle du bassin comme d’une tasse remplie d’un délicieux chocolat qu’il ne faut surtout pas renverser ! Cela fonctionne très bien chez elle, mais avec moi, rien du tout

Personnellement j’utilise assez peu d’images, plutôt des références anatomiques (de base, s’entend)

De quelle partie précise du corps part le mouvement, où il faut serrer, où il faut lâcher…

Mais je trouve que cela peut être bien, si cela fonctionne.

Il faut tout d’abord que ça vienne de vous, que ça vous parle à vous, vous saurez mieux le transmettre.

Mais soyez attentif(ve) aux réactions que cela suscite (ou pas) chez les élèves.

Pour élargir le sujet, il faut en permanence vérifier ce que les élèves ont compris ! Car là on a parfois de grosses (et douloureuses) surprises …

J’aurais des dizaines d’exemples, mais celui qui me vient à l’esprit, c’est que j’ai constaté très souvent que les élèves, d’où qu’ils viennent, entendaient COR de bras, au lieu de PORT de bras !

Et c’est très grave !! Parce-que dans port il y a PORTER. Et les bras, il faut les porter, sinon ils tombent !!!

Là il s’agit de l’impact qu’ont les mots sur notre imaginaire.

D’ailleurs, le vocabulaire fera bientôt l’objet d’une autre rubrique.

 

PORTEZ-VOUS bien et à bientôt

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